Un jeune allemand s'en va faire son service civil à Auschwitz. Il doit là-bas servir au mieux un ancien prisonnier. Puis il tombe amoureux d'une employée du "musée"...
Réflexion intelligente sur le devoir de mémoire, ok, mais qui reste convenue et très légère au bout du compte. Si on peut apprécier l'absence de pathos à sa juste valeur, l'absence d'intérêt, lui, est pour le moins gênant.
"Et puis les touristes" a toutes les caractéristiques d'un - bon - téléfilm Arte d'une soirée Théma consacrée aux camps de la mort.