Aronosfsky est grand, on le savait presque, c'est confirmé. On ne change pas comme ça de style d'un film sur l'autre sans être bourré de talent. Et quand on sait terminer un film, on sait tout faire.
La Passion du Christ = la passion du catch triste ? :)
Yep, franchement bon. L'arrivée dans la boucherie est démentielle et le dernier plan tout autant, en effet. A part qq facilités dans le scénar (sa fille), c'est du ciné puissance 10.
Sur le fond il serait intéressant de comparer The Wrestler à JCVD avec la mise en abîme de deux stars déchues tout ça... Mais là j'ai la flemme.
La facilité de scénar, c'est de ramener la fille dans la foule à la fin, avec des petites larmes et la grosse artillerie du mélo qui pue. Or justement là, ça fait dans la sobriété, et c'est encore et toujours ce qui marche le mieux au final.