Ennuyeux...
Encore une fois, un scénario qui sent sous les bras : une histoire d'amour larmoyante (une jolie femme et un défiguré) au milieu de gunfights mal orchestrés.
Pas de surprises non plus de la part du réalisateur et des acteurs (Daniel WU entres autres), c'est tout simplement pas terrible.
Sous peine de s'ennuyer en attendant sagement le générique, on peut aussi opter pour l'option "fin accélérée" que je n'ai pas regrétée.
PS : Il m'étonnera toujours ce LAM Suet, je le vois dans un film HK sur deux que je matte en ce moment :)
Devil Face Angel Heart
J'apprécie beaucoup Daniel Wu, mais j'apprécie aussi les bons films; et là, ce n'est certainement pas le cas. La faute entre autre au scénariste qui nous sort une enième histoire de vengeance bien molle et à une réalisation quelque peu cahotique. Très vite oublié donc.
vraiment pas top
Déjà que Daniel Wu n'est pas très expressif, si en plus on lui cache souvent le visage ça va pas l'aider à mieux jouer (ou peut-être si ?). L'histoire est tiré par les cheveux, les personnages caricaturaux, un film bien médiocre.
Les quelques scènes brutales de ce film sont INDISPENSABLES pour éviter l'assoupissement!
"Devil Face, Angel Heart" est un film d'une grande noirceur, son histoire (meurtres, vengeance et machination) et ses personnages contribuent à cette ambiance pesante.
Les gunfights sont bien saignants mais manquent de punch (il y en a peu et sont concentrés, pour la plupart, au début du film).
L'histoire est un peu tirée par les cheveux à certains moments et ils nous aient impossible de s'attacher ou de s'identifier à n'importe quel personnage que ce soit.
"Devil Face, Angel Heart" reste un film correct avec des passages plus ou moins bon et une mise en scène qui sort de l'ordinaire, dommage qu'il s'essouffle en court de route.
"Elephant man" au coeur d'un polar !
Bien que "Devil face, angel heart" est loin (mais alors très loin) de posséder les qualités (ne serait-ce qu'une ou deux) du film cité ou des meilleurs polars hk, il a ses moments, notamment deux-trois gunfights bien brutaux. Le film démarre d’ailleurs plutôt bien. Daniel Wu est un tueur à gages au visage difforme mais au grand cœur qui travaille avec Lam Suet, seule personne à prendre soin de lui. Puis, la prostitué(Gigi Lai, la bégayeuse des Y&D) attitrée du Big boss, lassée d’être maltraitée va trouver refuge en la personne de Daniel, lui confiant qu’il ne peut pas être plus horrible que le Big boss (quelle subtilité !). Daniel, très touché de cette soudaine attention va lui promettre de tuer son bourreau lors d’une mission à Taiwan. Deux flics suivent de près l’affaire (Sam Lee et Stephen Fung) mais un seul aura l'opportunité de la suivre jusqu’au bout.
Trahisons doublées d’invraisemblances monumentales sont au rendez-vous et rapidement, on doit admettre les faits : on est en face d’un pur film d’exploitation et rien d’autre. Ce film me rappelle un peu "Mother of a different kind" même si les scénarios n’ont rien à voir : une première demi-heure qui promet puis on s’enfonce rapidement dans de la « Midnight exploitation ». Regrettable. D’autant plus que les prestations des acteurs étaient plutôt correctes. A ce propos, pour une pop star, Gigi Lai n’hésite pas une fois de plus à accepter un rôle « difficile ». Par contre, Kelly Lam ne totalise pas plus de 5 minutes de présence à l’écran (dont la moitié où elle dort !).
A louer.