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The Joy of Torture 2: Oxen Split Torturing

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les avis de Cinemasie

1 critiques: 2.5/5

vos avis

3 critiques: 2.17/5

visiteurnote
- 2.5
Bastian Meiresonne 2.75
koalaurent 1.25


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Sans aucun doute le film japonais 70's le plus sanglant! Contrairement aux autres réalisations de Teruo Ishii, on franchi un net palier dans l'horreur et on peux réellement parler de film "malsain" sans aucune ambition cinématographique. Autant j'aime les autres films de la série autant je trouve celui ci "too much" De la pure violence gratuite au premier degré on retiendra le séquence d'ecartélement tres réaliste et particulièrement gerbante. Certes pas un film pour tout public, mais a voir au moins une fois!

07 juillet 2004
par -


Taureau-manie

Petite précision : s'il a été souvent dit, que le film a été réalisé par Teruo Ishii, il a effectivement été mis en scène par MAKIGUCHI, qui - suite au succès d'une série de 8 des "Joy of Torture" par Ishii - a été approché par les studios de la Toei pour signer une oeuvre du même acabit pour tenter de relancer un genre largement passé de mode. Film à deux sketches, l'histoire ne sert finalement qu'à lier bon nombre de séquences de torture et de viol du plus mauvais goût. Démembrement, crucifixions, personnages brûlés vifs, arrachage de tétons en gros plans...jusqu'à la fameuse scène de l'écartèlement donnant tout sens à son titre (alternatif). N'ayant d'autre intérêt que de surenchérir dans la violence graphique, le film tient toutes ses promesses et le scènes de torture sont d'un réalisme étonnantes pour l'époque. Film à l'intérêt limité, il se place pourtant parmi les excentriques et dépravés du genre.

01 juin 2005
par Bastian Meiresonne


Il était une fois un shogun sadique qui ne s'amusait guère sauf en torturant ses fidèles sujets (si posible de jolies jeunes femmes aux tétons à l'air).

Beaucoup de courage nécessaire pour regarder ce film jusqu'au bout. Les scènes de torture sont certes plutôt sanglantes (miam, un écartellement), mais le film a globalement mal vieilli et ne fait plus ressortir aujourd'hui que son côté racolleur.

27 octobre 2005
par koalaurent


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