Comment dire................................................... extrêêême !
3 scènes... 2 objectivement... Voir 1 seule totalement éprouvante et abominable si l’on veut épurer au maximum. Il ne faut finalement qu’1 seule scène à untold story pour en faire le film à l’image sulfureuse que l’on connaît.... Mais quelle scène ! Mon dieu, pardonnez-nous, quelle scène !
Un film qui gagne ainsi haut la main ses galons de référence de la cat III, ultra violent, infecte, outrageux, infernal, amoral, etc, grâce à ses 5 minutes de pure folie furieuse.
J'épure (le mot adéquate ;), je le répète, car "Untold story", tout comme Ebola syndrome et la majorité des Cat III à vrai dire, ne se veut pas un film gore à tout prix dans l'image (genre Braindead), même si il y va tout de même de bon coeur, mais plutôt et surtout un film gore dans la moralité qu'il défie à chaque plan : "coucouche panier, la morale !".
Le bouton "éthique" de votre cerveau doit impérativement être mis sur "off" avant de vous lancer dans ce genre de film ou on obtiendra à coup sûr des énormes "Ouuuuh" et même des "Euuuuurk" d'abomination, ou plus directement le bouton "stop" de la télécommande.
Anthony Wong est LE psychopathe que tous les accros de la violence et du gore souhaitent rencontrer à l ‘écran, celui qui ne fait pas de détail, celui qui n’a aucune limite, celui que la caméra n’entrave jamais dans son geste même si elle prend soin de ne pas tout montrer de trop près pour ne pas choquer plus encore. C’est déjà bien assez, à vrai dire.
Plus encore que dans Ebola Syndrome, pourtant très proche que ce soit dans l’histoire ou l’ambiance visuelle (enfin façon de parler parce que la photo est inexistante comme toujours pendant cette période HK) et sonore, Anthony Wong est ici encore complètement malade, crame, viole, assomme, tue, égorge, découpe au hachoir avec un cynisme, une aisance et une rage faciale déconcertante. Le reste du film, il tente d’échapper aux brimades des prisonniers outrés, puis aux tortures des flics qui se la jouent cool, dilettante et peu efficace. Bref, on ne fait pas dans la dentelle.
Par contre, en y réflechissant (ah oui, quand même !), niveau horreur, "untold story" est peut-être plus retenu qu'"ebola", et donc de ce fait, peut-être moins infecte dans la surenchère de dégueulasserie outrancière (j'ai toujours le bouton "éthique" sur "off", notez bien). Pas de virus pour venir couronner le tout. De plus, les passages avec Danny Lee et son équipe de flics bons à rien nous laissent un peu respirer, peut-être plus que dans "Ebola" qui ne s'arrête pas souvent pour les âmes sensibles. Mais bon... D'un autre côté, on a moins tendance à rigoler ici, et même pas du tout à vrai dire. Car tout cela est pris très au sérieux contrairement à "Ebola". l'atrocité des meurtres est un cran au dessus dans ce film-ci et LA scène finale vient directement vous clouer au poteau. Et puis, j'omet quand même pas mal d'autres scènes bien coton (baguettes en guise de gode perforant, Anthony qui se lave les mains avec son urine ou boit celle d'un autre pour soulager sa douleur, les incontournables beignets canibales, etc) qui viennent aussi se greffer là-dessus, qui ne m'ont pas particulièrement semblées infâmes dans leur traitement, mais qui feraient aussi leur effet sur les plus sensibles, sans aucun doute. De toute façon, pour voir ça, il faut être rôdé...
Une scène, c’est très peu, me diront les habitués, et pourtant, elle reste gravée pour longtemps comme LA scène qu’il fallait oser dégobiller. Mais fallait-il vraiment ? La question qui se pose plutôt est : mais comment ont-ils fait pour filmer une scène pareille ? En l'occurrence (attention, je révèle LA scène) le massacre d'une famille entière avec un cul de bouteille brisé pour commencer, puis à "la feuille" (gros hachoir de boucher ultra coupant) incluant un petit garçon, père, mère et quatre filles, le tout dans une pièce unique, sous des yeux d'enfants effarés, où tout le monde hurle de terreur et où Anthony Wong prend bien tranquillement son temps. Ah ben oui, je vous avais prévenu...
Et comment imaginer que ce psychopathe n'est pas imaginaire mais tiré d'un fait divers. C'est là qu'on prend en pleine face le mot folie.
S'il ne fallait en garder qu'un...
Dire qu'avant
Papa Loves You et
Herbal Tea,
Herman YAU Lai-To a fait ça! C'est fou ce qu'un homme changer en 20 ans. L'avantage pour ce CatIII extrème, c'est que c'est bien filmé pour ce genre de film notamment au niveau des cadrages qui mettent bien en situation et bien-sûr il y a
Anthony WONG Chau-Sang littéralement dément dans son rôle. A voir obligatoirement donc pour cette seule raison, même pour les personnes qui comme moi n'apprécient pas ce genre de film.
06 novembre 2004
par
jeffy
C'est par ce film que tout a commencé...
drame /cat III gorissime et jusqu'au boutiste inspiré d'un fait divers, c'est un veritable chef d'oeuvre !
viol, cannibalisme , violence a outrance, voici les elements devastateurs de ce veritable joyau !
Anthony wong y est boulversant (il y recevra d'ailleurs un prix pour se composition)Danny lee cabotine a son aise , et herman yau nous prouve qu'il est un realisateur vraiment a part...
Le film est bourré de scenes cultes du debut jusqu'a la fin
que dire de + ,si ce n'est de vous ordonnér d'allez acheter le dvd all zone sorti chez Tai seng...
délicieusement déguelasse
apres" ebola syndrome" et "story of ricky" voici mon 3eme cat3 que je vois. je compte pas naked killer et naked weapon qui sont aussi des cat3 (je crois) et qui sont des excellents films mais qui n'ont rien a voir avec le genre de films tels que "ebola" "ricky" et "untold story" . herman yau le réalisateur est vraiment dingue, c'est pas possible de tourner des trucs pareils , mais voila il y a un certain anthony wong et lui, il est fantastique dans un role qui lui vas comme un gant . les scenes d'horreur ,de viol, et gore sont plus déguex les unes que les autres (trop long a expliquer acheté le film). jamais au grand jamais je montre ce chef d'oeuvre a ma femme, car la c'est l'ambulance assuré et je rejoins herman yau a l'asile. simplement phénoménal ce film. ou simplement déguelasse ce film. a vous de choisir, moi j'ai choisi.
Anthony Wong se fait plaisir
Un cat III réussi, remplissant son quota d'humour décalé (les inspecteurs de police, l'inspectrice jalouse des prostituées trainant avec Danny Lee) et son quota d'images choque. Bref les amateurs de cat III vont se régaler. Et Anthony Wong y est vraiment impressionnant. A réserver aux passionés évidemment. En plus on retrouve plein de visages connus dans des seconds rôles (le méchant de the killer entre autres...)
Anthony Wong! No limit!
Drélium a bien résumé le film, ses forces et faiblesses, sans compter LA scène, celle dont je rêvais depuis bien longtemps!
Anthony Wong s'en donne à coeur joie et on adore ca. Danny Lee plastronne avec ses pouffes et a l'air de bien s'amuser. Bref, un parfait moment de genre: on peut difficilement faire la fine bouche avec un tel film. On veut voir un vrai Cat 3 qui défouraille? on a été déçu par Full Contact qu'on trouvait gentillet (ce qu'il est réellement)? Untold Story est une réussite extrème du genre.
Glauque, dingue, malsain et crade jusqu'au bout des ongles
Mesdames et Messieurs, voici un Cat 3 qui fait plus d'une étincelle. Herman Yau prend le parti de développer l'intrigue de son film en alternant séquences hautement dérangeantes et intermèdes proches d'une sitcom à l'humour délibérément crétin. Contre toute attente, la mayonnaise prend. Bien sûr, ce thriller de malade ne serait pas aussi offensif sans la performance choc d'Anthony Wong. En parfaite roue libre dans son rôle de restaurateur détraqué, il se montre pourtant bien moins caricatural qu'on imagine de prime abord. C'est bien simple, il
vit le film. Un authentique acteur-caméléon, capable de voguer sans le moindre problème entre productions à budget conséquent et petites bandes trashissimes telles que ce judicieusement nommé
The Untold Story, dont la thématique pourrait difficilement jouir d'une adaptation chez Walt Disney. Le film dégage une atmosphère étrangement nauséabonde dont le fumet manque de se faire sentir à travers notre téléviseur. La qualité d'image très médiocre (éclairage grossier et grain de pellicule crado à souhait), typique des séries Z de Hong-Kong des années 80-90, renforce l'aspect brut et glauque de l'entreprise. Mais ce qui frappe le plus, forcément, ce sont ces passages d'une violence proprement inouïe où Wong se complait dans les humiliations physiques, les viols et pour finir les meurtres à coup de hachoir, de tesson de bouteille, de tabouret, etc. À ce titre, le massacre de cinq bambins en flash-back tend à outrepasser les limites du soutenable – peut-être même de l'acceptable, vous diront certains. Au trop-plein de gore excessif qui aurait pu faire sombrer le film dans le ridicule, Yau préfère souvent le hors-champ, à quelques effusions d'hémoglobine près. Ceci dit, la violence graphique demeure bel et bien présente (tête d'une petite fille décapitée dégringolant d'une table, vision de corps entièrement démembrés au hachoir, entre autres) sans pour autant virer au grand-guignolesque. Le sort réservé par la suite à Wong ne sera pas des plus enviables. Emprisonné, rigoureusement tabassé puis exposé à des supplices à tour de rôle par ses confrères prisonniers et les flics qui souhaitent lui faire avouer ses crimes, le bougre endurera le revers de la médaille dans un climat tenant de la plus intense des brutalités physiques et psychologiques. Un métrage sale, dingue et inimaginablement morbide dont la violence jusqu'au-boutiste ferait presque passer
Cannibal Holocaust ou
Irréversible pour des promenades de santé. Du grand art... en son genre.
un régal de mauvais gout
Apres avoir vu ébola syndrome, ce peit plat est facilement digérable, même si on reste parfois halluciné par l'outrance du personnage.
Comment dire euhhh : ignoble
Film choc a ne pas laisser entre toute les mains, cruel,crade,violent a l'extrème et une scène finale partici=ulièrement choquante qui n'enlève toute fois rien a la bonne prestation d'Antony Wong sur ce chef d'oeuvre de la cat III
Anthony Wong a encore frappé
Un Cat III que j'ai trouvé assez soft par rapport à
Ebola Syndrome qui était déjà bien hardcore dans son domaine. Là on est plus dans le fait divers morbide.
La prestation d'Anthony Wong est à tomber tant le film repose sur lui. Une coupe de cheveux et des lunettes double foyer suffisent à rendre cet acteur inquietant.
A signaler aussi que la musique est de bonne facture et aide bien à rentrer dans le trip.
WHO'S LAUGHING NOW ?!!!
The untold story est un charmant petit film (pour toute la famille) mettant en scène l'excellent et halluciné (ce regard de malade !) Anthony Wong dans le rôle d'un psychopathe qui transforme ses victimes en bouchées à la viande, avant de les servir aux clients de son restaurant (clients, qui bien sûr, ignorent tout de ses méfaits).
Ce qui frappe au premier abord dans ce film est la légèreté de ton avec laquelle est traitée une histoire des plus sordides (ce qui crée un drôle de sentiment lorsqu'on sait que le presonnage interprété par Anthony Wong à réelement existé)...Herman Yau, pendant près d'une heure, ne cesse d'osciller entre séquences bien craspecs (dont la fabrication détaillée d'un "bun"...Bon appétit !) et scènes de commissariat à l'humour aussi potache que débile, dont une grande partie tourne autour du fait que l'inspecteur de police campé par Danny Lee (dans un amusant contre-emploi) débarque chaque jour au commissariat avec une prostituée différente dans les bras, quand ce n'est pas une séquence comique nous montrant une femme flic tentant de prendre les empreintes digitales d'un bras en putréfaction (!)...Que de délicatesse ! Par moments j'avais vraiment l'impression de regarder un sitcom trash, genre Les filles d'à côté qui pataugent dans la barbaque...Impression renforcée par la bêtise crasse du groupe de "héros", l'aspect hyper-cheap du film et la direction artistique quasi-inexistante.
Plus le métrage avance, plus les séquences censées détendre (lourdement^^) l'atmosphère deviennent rares (ce qui ne veut pas dire qu'elles sont absentes). Par conséquent, le recul avec lequel on regarde les passages ignobles s'amenuise...Les scènes "choc" (le calvaire vécu par le boucher en prison et sa tentative de suicide bien dégueulasse) deviennent de plus en plus "efficaces" (c'est une façon de dire...), sans pour autant que le pauvre spectateur ne soit préparé au climax qui (et j'en rajoute pas !) constitue une des scènes les plus extrêmes et choquantes vues sur un écran -SPOILER- ("Bunman" massacre, en prenant bien son temps, un couple et ses 5 enfants -en bas âge- à l'aide d'un hachoir et d'une bouteille cassée...Le tout avec moultes giclés d'hémoglobine. La séquence se clot sur un plan nous montrant l'intégralité de la famille découpée en morceaux...brrr...).-FIN DU SPOILER-
Une fois le film terminé, l'envie de rigoler est complètement passée à la trappe...Et à ce moment précis, on se dit que The untold story est un film nettement moins maladroit que ce qu'il veut bien laisser paraître, car Herman Yau, sous ses allures de cinéaste "je m'en foutiste" qui réalise un thriller malsain comme s'il dirigeait une "bidasserie", nous aura bien mené en bateau.
ces chairs catIII
de l'excellent catIII tiré d'un fait divers.